Bukkaké, 2014
Vidéo
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L’œil est également au centre de Bukkaké d’une durée d’une secondes, cette vidéo travaille avec la pulsion scopique du regardeur. Le bruit de splash qui débute avant la vidéo donne au spectateur l’envie de savoir ce qu’il se passe, il cherche donc dans l’espace une quelconque action. Soudain la vidéo surgit et le regardeur se trouve agréssé par ce remake de film porno. Lapulsion scopique devient une pulsion sexuelle. Cette vidéo est un pège à spectateur. Montée en boucle, elle emprisonne le corps dans une autoconsommation de lui-même selon un schéma exploité dans l’univers du porno, et qui devient ici expérience hallucinatoire.